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Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial PSG-Guingamp

Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial PSG-Guingamp

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Par Julien Choquet

Publié le

La surprise de la semaine. 
Mercredi soir, le PSG recevait Guingamp lors d’un quart de finale qui avait tout d’une formalité sur le papier. Avant le match, les Ultras parisiens ont chambré l’OM… 


… avant de s’endormir devant la première période sans relief de leur équipe. Rien à se mettre sous la dent jusqu’à l’heure de jeu et un tampon du gardien guingampais sur Mbappé, non sanctionné par l’arbitre. Le numéro 7 parisien reste au sol de longues minutes, avant de se relever sonné. 



Dans la foulée, Guingamp obtient un pénalty après une faute bête de Meunier sur Blas. Thuram s’élance… et frappe à côté de la cage d’Areola.



Un coup dur pour Guingamp, qui va en plus encaisser l’ouverture du score juste derrière suite à une tête de Neymar sur un bon centre de Meunier. 



On se dit alors que le match est plié : grave erreur. L’arbitre siffle un second pénalty pour Guingamp à dix minutes du terme pour une faute de Bernat sur Thuram. Cette fois, c’est Ngbakoto qui y va, et qui transforme la sentence pour Guingamp. 

La fin de match est folle. Le PSG pousse pour prendre les devants mais se fait contrer en fin de match. Seul face à quatre défenseurs, Thuram obtient un troisième pénalty pour Guingamp dans le temps additionnel. Le numéro 11 de Guingamp prend ses responsabilités une nouvelle fois et trompe Areola : stupeur au Parc des Princes. 








Le nom du fautif ? Thilo Kehrer, trop souvent mis à la faute cette saison. 

L’homme de ce match, c’est donc forcément monsieur Bastien, l’arbitre du soir, critiqué par les supporters parisiens pour ses décisions. 






C’est fini : le PSG est éliminé de la Coupe de la Ligue, et met fin à sa série de 44 matches sans défaite en coupes nationales. 




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